Le terme reptile (latin: reptilis = ramper), vient du fait que ses représentants ayant des pattes courtes, paraissent donc ramper quand ils se déplacent, comme les alligators, les lézards et les tortues. Les serpents et les "cobras à deux têtes" n’ont pas de pattes, et donc rampent. Les reptiles sont considérés comme le premier groupe de vertébrés typiquement terrestres et possèdent diverses caractéristiques et structures qui empêchent leur dessèchement. La peau de ces animaux est sèche, sans glandes et recouverte d'écailles. La respiration est toujours pulmonaire. Ce sont des animaux ectothermes (de sang-froid), réchauffant leurs corps par des sources externes de chaleur. Actuellement, il existe environ 6.500 espèces connues de reptiles au monde. Au Brésil, sont recensées 696 espèces, dont 36 de tortues, 6 d’alligators, 234 de lézards, 62 d’amphisbènes et 358 de serpents, et environ 186 espèces recensées dans l’État de São Paulo.
À ce jour sont connues 744 d’espèces de reptiles au Brésil, dont 36 espèces de tortues, six espèces d'alligators, 248 espèces de lézards, 68 espèces d’amphisbènes et 386 espèces de serpents (BÉRNILS & COSTA 2012). Il est recensé à peu près 186 espèces de reptiles pour l'état de São Paulo, dont deux d’alligators, 11 de tortues, 10 d’amphisbènes, 38 de lézards et 125 de serpents (MARQUES et al. 1998).
Les reptiles sont présents dans presque tous les écosystèmes brésiliens et sont particulièrement diversifiés et abondants dans les régions plus chaudes du pays. La majorité des reptiles est selective dans les habitats, c’est à dire qu’il ne peut survivre que dans un ou peu d’environnements distincts. Une grande partie des espèces de reptiles est prédatrice, principalement au sommet de la chaîne alimentaire, comme des alligators, certaines tortues et une bonne partie des serpents. Ils sont de bons exemples contrôlant les populations naturelles de proies qui pourraient causer un préjudice à l'homme. D’autres reptiles sont des consommateurs secondaires, se nourrissant principalement d'insectes, de larves d'insectes et d'arthropodes (Martins & MOLINA, 2008).
Il y a encore quelques herbivores, fonctionnant comme consommateurs primaires dans les chaînes trophiques. En plus des espèces qui se nourrissent de feuilles, diverses autres consomment des fruits et peuvent agir en tant que diffuseurs de plusieurs espèces de plantes. Pour avoir lieu souvent dans des densités relativement élevées, ces animaux ont un rôle majeur dans le fonctionnement des écosystèmes. En plus de l’importance écologique, plusieurs espèces de reptiles ont également une importance socio-économique, en particulier les tortues, les lézards et les serpents, qui servent de nourriture aux populations humaines. En plus des serpents venimeux dont le venin sert à la production de médicaments largements utilisés au Brésil et dans le monde (Martins & MOLINA, 2008).
Compte tenu de la taille de l’État, par rapport à celle du pays, la richesse des espèces est élevée. Cette forte proportion peut être en partie expliquée par la grande diversité des écosystèmes, les principales étant les forêts tropicales denses, les forêts saisonnières à feuilles semi-caduques et les Cerrados. En outre, le relief accidenté, surtout dans les serras du Mar et da Mantiqueira, augmente la diversité des environnements, ce qui entraîne une plus grande variété et de nombreux cas d’endésmisme (Marques et al. 1998).
Les informations sur l'histoire naturelle et l’écologie des serpents au Brésil sont rares et limitées à certaines régions (SAZIMA & HADDAD 1992), surtout en raison du fait que la rencontre avec ces animaux dans la nature est occasionnelle ou rare, aléatoire (FITCH 1987). Les communautés de serpents néotropicaux ont une grande richesse d’espèces et une structure complexe, à savoir, une grande variété de formes d'utilisation des ressources, des modèles d'activité, de reproductions et morphologiques (DUELLMAN 1978, 1979, 1989, 1990; ZIMMERMANN & RODRIGUES 1990; CADLE & GREENE 1993; MARTINS 1994; POUGH et al. 1998; MARTINS et al. 2001; MARQUES et al. 2001, 2002; PIZZATTO & MARQUES 2002; RODRIGUES 2005; SAWAYA 2003; SAWAYA et al. 2008) et la majorité des études des serpents de la région néotropicale a eu lieu dans des environnements forestiers (par exemple MARTINS 1994; MARQUES 1998; MARQUES et al. 1998; ZIMMERMANN & RODRIGUES 1990).
Le problème est particulièrement marqué dans les régions où la végétation naturelle a été suprimée ou même modifiée, et transformée en pâturages, logements, édifications humaines et zones industrielles, rendant impossible de cette façon le diagnostic de la richesse des espèces existantes, inconnues ou même non cataloguées (CECHIN & MARTINS 2000). Cependant, la chasse, ainsi que la destruction des habitats, favorise l'appauvrissement d'une grande partie de l'herpétofaune. Doit également être pris en compte le changement environnemental intense, la pollution des plans d'eau, le changement des lits de rivières et des drainages, ou des plaines inondables. La situation est plus critique pour les espèces de grande taille, pour sa position au sommet de la chaîne alimentaire (VANZOLINI, 1972).
Les serpents sont parmi les animaux les plus persécutés par les humains, puisque certains peuvent provoquer des accidents graves. Tous les serpents, venimeux ou non, jouent un rôle important dans l'écosystème, comme ils sont des prédateurs et des proies pour d’autres animaux. Certaines espèces peuvent réduire les populations de rongeurs. D’un point de vue immédiat et utilitaire, le venin de certains serpents a été utilisé pour la préparation de médicaments très importants. La composition et les propriétés des venins de nombreuses espèces sont encore inconnues et les études futures pourront en faire profiter encore d’avantages aux humains. Certains serpents considérés comme non venimeux produisent également une salive toxique (MARQUES et al., 2001, 2002).
Ces venins sont encore mals connus et leur potentiel d’utilisation n’est pas encore bien défini. Bien qu'ils soient tués sans discernement, la principale menace pour la grande majorité des serpents est le changement et la réduction des zones de végétation primaire. Une bonne partie des espèces qui vivent exclusivement dans les forêts voient leur extinction pratiquement sûre avec la dévastation de ces environnements (MARQUES et al., 2001, 2002).
Cependant, les lézards sont des organismes appropriés pour les études d’écologie et d'histoire naturelle pour être, pour la plupart, diurnes, nombreux, faciles à observer, à capturer et à manipuler, en plus d’avoir leur taxonomie relativement bien connue (DUELLMAN 1978, 1979, 1989, 1990; HUEY & PIANKA 1981; HUEY et al. 1983; ARAÚJO 1994; ROCHA & BERGALLO 1994; ZAMPROGNO & TEIXEIRA 1998a, b; POUGH et al. 1998) et dans la nature, différentes espèces se sont montrées appropriées à des manipulations expérimentales, en aidant à la formation de théories écologiques qui peuvent être appliquées à d'autres groupes d'animaux (HUEY et al. 1983; VITT & PIANKA 1994). Pourtant, l'utilisation des études d’amphibiens et de reptiles pour l'analyse des impacts environnementaux aura toujours des résultats limités, selon l'état actuel des connaissances, ayant toujours des problèmes d’ordre taxonomique à résoudre. En plus de cela, un autre problème est le manque de temps et la limitation des méthodes d’échantillonnage (CECHIN & MARTINS, 2000).
Les espèces rares, endémiques, ou celles qui sont présentes sur une petite portion de l'État, méritent certainement une attention particulière. La chasse, ainsi que la destruction des habitats, peut avoir contribué à la baisse des espèces de grande taille tels que le lézard
Tegu Tupinambis merianae dont la chair a pu être trouvée dans des marchés de villes comme Registro, dans la vallée du fleuve Ribeira, au début de la dernière décennie (MARQUES et al. 1998). Cependant, l'appauvrissement d'une grande partie de l'herpétofaune se doit également au changement environnemental intense, à la pollution des plans d'eau, aux changements des lits des rivières et des drainages ou des plaines inondables. La situation est plus critique pour les espèces de grande taille, pour sa position au sommet de la chaîne alimentaire (VANZOLINI 1972).
CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES
Les reptiles en général, font usage de la vue, de l'ouïe et de l'odorat. Les oreilles externes des reptiles sont absentes, mais il y a une perception de sons dans les environnements terrestres, sauf pour les serpents et les cobras à deux têtes, totalement sourds. En outre, les serpents ont peu ou pas de vue, contrairement à d'autres reptiles. Ils sont diurnes et nocturnes, en utilisant différents types d'habitats, ont des habitudes semi-aquatiques, aquatiques, terrestres, semi-fouisseurs, fouisseurss, semi-arboricoles et arboricoles. Prédateurs en majorité, ils se nourrissent sur terre et dans l'eau, principalement de larves d'insectes et d'invertébrés en général, d'amphibiens, de d'autres reptiles, d’oiseaux, de mammifères, et même certains se nourrissent de feuilles, de fleurs et de fruits. Les sexes sont généralement séparés (mâles et femelles), la fécondation est interne et le développement est direct, sans stades larvaires. La grande majorité des reptiles est ovipare, les œufs étant recouverts d'une coquille, protégeant l'embryon du déssèchement, mais il existe quelques lézards et serpents qui sont vivipares (les jeunes naissent prêts et identiques aux adultes). Comme structures de défense, les reptiles ont des dents, des ongles, des queues, et des écailles modifiées (plaques dermiques), comme pour les alligators; des coques résistantes, comme pour les tortues; des glandes à venin et des dents inoculatrices de venin, comme pour les serpents.
Les reptiles sont parmi les animaux les plus persécutés par l'homme, car ils sont des animaux à sang froid, non domestiquables, entourés de mythes et croyances populaires, source alimentaire de nombreuses populations, matières premières dans l'industrie pharmaceutique, pour la maroquinerie, et certains d'entre eux peuvent provoquer des accidents graves. Cependant, la plupart des espèces présentes est inoffensive pour les humains. De tous les reptiles, les serpents sont sûrement les plus persécutés et leur sont attribués un comportement malveillant, les définissant comme des animaux rusés, mauvais, traîtres, etc. Cependant, les serpents font partie des écosystèmes écologiques et contrôlent un certain nombre de populations d'animaux nuisibles à l'homme, comme plusieurs espèces de rongeurs, qui en plus d'attaquer les cultures et les grains stockés, sont également des vecteurs de maladies pour les êtres humains.
La grande majorité des espèces de serpents est inoffensive pour les humains et il en existe également certaines qui se nourrissent d'autres serpents. Les venins des espèces venimeuses tels que les vipères, les serpents à sonnettes et surucucus, sont étudiés dans les laboratoires et les propriétés et ses différentes fractions utilisées comme médicaments pour lutter contre plusieurs maladies cardiaques, anesthésiques, de cancer, etc. Les serpents, comme les reptiles en général, et tous les êtres vivants, jouent un rôle important dans la nature, équilibrant les populations de d'autres animaux qui leurs servent de nourriture et sont aussi une source de nourriture pour d'autres espèces. Les croyances créés autour des reptiles ne sont rien de plus que des craintes non fondées et de l'ignorance humaine.
LA FAUNE DES REPTILES DANS LES TERRES AGRICOLES DE L’USINE SÃO FRANCISCO
Dans les terres agricoles de l'usine de São Francisco ont été recensés 22 espèces de reptiles, appartenant à trois ordres (Squamata, crocodiliens et Testdines), divisés en 11 familles (Amphisbaenidae, Polychrotidae, Diplogossidae, Teiidae, Gekkonidae, Viperidae, Boidae, Colubridae, Dipsadidae, Alligatoridae et Émydidés) et 22 genres (Amphisbène, Polychrus, Ophiodes, Ameiva, Salvator, Hemidactylus, Crotalus, Bothrops, Boa, Epicrates, Eunectes, Chironius, Clélia, hydrodynastes, erythrolamprus, Oxyrhopus, Sibynomorphus, Thamnodynastes, Xenodon, Cayman, Paleosuchus et Trachemys).
L’ORDRE SQUAMATA
Le terme squamata (latin: squama = écaille), vient du fait que leurs représentants aient des écailles couvrant leur corps, realisent des changements de peau (mue) de temps à autre, et est composé par les lézards, les cobras à deux têtes et les serpents. La plupart des lézards ont des paupières et des oreilles externes ouvertes, sauf pour les serpents et les cobras à deux têtes. Les serpents et les cobras à deux têtes sont des reptiles qui ont par la suite perdus leurs pattes, voient mal et ne perçoivent pas de sons, mais d'autre part sentent efficacement les vibrations dans le sol et utilisent leur odorat bien développé pour explorer l'environnement et trouver leurs proies.
Pour « sentir les odeurs », ils exposent leur langue ayant une extrémité libre et fourchue (langue fourchue) et captent les molécules ambiantes, les analysant à travers une structure située sur le "haut de leur bouche", appelée organe vomero-nasal ou organe de Jacobson. En outre, certaines espèces de serpents ont des écarts entre les écailles labiales (fossettes labiales), ou entre l'œil et la narine (fossette sensorielle), qui permettent la perception des variations mineures de température, important pour détecter la présence d’animaux à proximité (proies ou prédateurs).
L’ORDRE DES CROCODILES
Ce sont des reptiles, qui en plus des écailles, ont des plaques osseuses dermiques qui tapissent leur corps. Ils sont semi-aquatiques et peuvent être trouvés dans de l'eau douce ou de l'eau salée. Ils sont divisés en trois groupes: les alligators, qui vivent dans de l'eau douce; les crocodiles, survenant en mer et en eau saumâtre; et les gavials que l’on trouve dans les rivières de l'Inde.
L’ORDRE DES TESTUDINES
Ce sont des reptiles caractérisés par la présence d'une coquille. Ce groupe est représenté par les tortues marines, les tortues serpentines (d'eau douce) et les tortues terrestres. Ils sont sur la liste des plus grands reptiles du monde.
LA FAMILLE AMPHISBAENIDAE
Dans cette famille se trouvent les serpents soit-disant à deux têtes. Les espèces sont fouisseurs, c’est à dire vivent enfouies, formant des galeries de tunnels dans le sol. Ils sont considérés comme importants pour l'agriculture, car en plus d’aérer le sol, ils se nourrisent d’animaux qui peuvent détruire les racines des cultures. Quant à leur reproduction, ils sont ovipares.
LA FAMILLE POLYCHROTIDAE
Dans cette famille se trouvent les lézards populairement connus comme caméléons. Ils sont arboricoles de préférence, utilisant leurs pattes et leur queue, adaptés pour marcher sous les branches. Ils déplacent leurs yeux séparément, et se nourrissent principalement d'invertébrés tels que les insectes, par exemple. Quant à leur reproduction, ils sont ovipares.
LA FAMILLE DIPLOGLOSSIDAE
Dans cette famille se trouvent les lézards populairement connus comme « cobras de verre » ou « quebra-quebra ». Ils sont terrestres et se nourrissent principalement d'invertébrés tels que les insectes, par exemple. Quant à leur reproduction, ils sont ovipares.
LA FAMILLE TEIIDAE
Dans cette famille se trouvent les lézards populairement connus comme geckos ou « lézards verts ». Ils sont terrestres, avec une taille du corps de moyenne à grande. Ils se nourrissent d'invertébrés tels que les insectes, par exemple, de fruits, d’amphibiens, de d’autres reptiles, d’oiseaux et de petits mammifères. Quant à leur reproduction, ils sont ovipares.
LA FAMILLE GEKKONIDAE
Dans cette famille se trouvent les lézards populairement connus comme les largatixas ou bribas. Ils sont arboricoles, utilisant leurs pattes adaptées pour l'escalade et pour rester accrochés. Ils se nourrissent d'invertébrés tels que les insectes et les araignées par exemple. Quant à leur reproduction, ils sont ovipares.
LA FAMILLE VIPÉRIDÉS
Dans cette famille se trouvent les serpents venimeux, c’est à dire ceux qui ont des glandes et des dents inoculatrices de venin. Au Brésil, ses représentants sont les serpents à sonnettes, les vipères et les surucucus. Ils ont des habitudes semi-arboricoles, arboricoles, terrestres et semi-aquatiques. Ils se nourrissent d’amphibiens, de lézards, d’oiseaux et de petits mammifères, en utilisant le venin pour tuer leur proie. Ils peuvent parfois être dangereux et causer des accidents avec les animaux domestiques et les humains. Quant à leur reproduction, les serpents de cette famille sont vivipares.
LA FAMILLE BOIDAE
Dans cette famille se trouvent les grands serpents, bien que des petits serpents fassent également partie de cette famille. Il peut être vu dans les représentants de cette famille, les traces de la ceinture pelvienne. Leurs représentants peuvent avoir des habitudes semi-arboricoles, arboricoles, terrestres, aquatiques et semi-aquatiques. Ils se nourrissent principalement d’oiseaux et de grands mammifères, et généralement utilisent la constriction (l’étouffement) pour tuer leur proie et sont considérés comme des espèces non-toxiques, avec une dentition aglyphe. Quant à la reproduction, les serpents de cette famille peuvent être ovipares et vivipares.
LA FAMILLE COLUBRIDAE
Cette famille est répartie sur tous les continents où il y existe des serpents, pouvant être considérés comme des espèces cosmopolites, et la plupart des serpents dans le monde appartiennent à cette famille. La diversité d’habitudes est également grande, avec des espèces terrestres, des semi-arboricoles, des arboricoles, des semi-aquatiques, des aquatiques et certains fouisseurs. Ils se nourrissent d’amphibiens, de lézards, de d'autres serpents, d’oiseaux et de petits mammifères, et généralement utilisent la constriction (l’asphyxie) ou la morsure pour tuer leur proie et sont considérés comme des espèces non-toxiques, avec une dentition aglyphe ou opistoglyphe. Quant à la reproduction, les serpents de cette famille peuvent être ovipares et/ou vivipares.
LA FAMILLE DIPSADIDAE
Ce groupe de serpents était classé dans la famille Colubridae, représentant deux sous-familles, Dipsadinae et Xenodon. Des études moléculaires démontrairent la spécificité du groupe, le passant en catégorie de famille distincte.
LA FAMILLE ALLIGATORIDAE
Cette famille est représentée par les alligators. Ils sont aquatiques, mais utilisent avec fréquence l'environnement terrestre, où ils construisent leurs nids et pondent leurs œufs. Ils se nourrissent de poissons, d'invertébrés aquatiques, d'amphibiens, de reptiles, d'oiseaux et de mammifères, et utilisent généralement la morçure pour capturer et tuer leurs proies.
FAMILLE ÉMYDIDÉS
C’est l'une des familles de tortues d'eau douce. La grande différence à noter dans cette famille par rapport aux autres, est la modification des pattes pour faciliter la natation (principalement les membranes interdigitales) et la collecte de nourriture.
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